Je dois avouer que j'éprouve un certain plaisir (spirituel) au vu des évènements de ces derniers jours.
Le sentiment que Thémis existe encore de nos jours ainsi que l'impermanence. Cette certitude que la "roue tourne" et que les choses, ni le temps ne sont figés, notre classe politique et journalistique en font les frais de plus en plus souvent vis à vis de l'opinion publique, malgré leurs efforts conjugués pour la contrôler.
Quelle régalade, en regardant s'agiter tout ce petit monde ulcéré et dépité qu'un de leur "collègue" se soit fait serrer par la justice américaine sur le sol de cette dernière et qu'il ne soit pas traité avec les égards dûs à son rang "d'élite nationale française". Les américains ne seraient-ils pas en train de nous filer une petite leçon de démocratie élémentaire ? En tout cas, j'ai apprécié ce moment où politiques et journalistes de tous bords (à de rares exceptions près) gesticulaient, s'indignaient, critiquaient, affichant surtout une terrible impuissance devant des évènements et des décisions qu'ils sont incapables de contrôler, car cela se passe à des milliers de kilomètres du petit "royaume" de France.
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Un autre son de cloche sur le patron du FMI,
